En accueillant les personnalités invitées à l’inauguration officielle de l’école élémentaire Joseph Ringeval ce mardi 26 septembre, Bernard de NARDA mettait enfin un terme à un projet qui a mobilisé toutes les énergies durant les premières années de son mandat. C’est en présence de nombreux élus de
l’arrondissement, de l’inspecteur de l’Éducation Nationale, du président des DDEN et de la nouvelle directrice accompagnée de son équipe, qu’il coupait le ruban symbolique avec Fayçal DOUHANE, le nouveau sous-préfet de Cambrai et Nicolas SIEGLER, vice-président du Conseil départemental, pour découvrir ensuite avec eux la plaque commémorative qui inscrit dans la brique cette renaissance de l’école.

Car elle est le fruit de longs mois d’études et de travaux pour un chantier de réhabilitation qui aura duré le temps d’une année scolaire, avant de pouvoir y accueillir à nouveau les élèves en octobre de l’année dernière. Et les enfants eux-mêmes avaient bien compris l’importance de l’enjeu en s’adressant au
« capitaine » pour lui chanter « Plus haut » la chanson de Claudio Capeo, dont certaines paroles font écho à cette mission citoyenne de l’école mise en exergue par le maire.

Plus qu’une simple réhabilitation énergétique, c’est en effet une véritable rénovation qui fait de leur école « un lieu d’apprentissage durable, harmonieux et actuel », comme ont pu le constater les invités en visitant des classes « inondées de lumière » et dotées des meilleurs équipements. Et le film du chantier, qui était projeté dans le hall magnifiquement décoré d’un planisphère géant, montrait l’ampleur des travaux qui ont permis de transformer une école des années soixante en une véritable « école du futur », grâce aux efforts conjugués de la commune, de l’État, du département et de la région.

En se référant donc à Victor Hugo, grand défenseur de l’école publique, Bernard de NARDA insistait sur l’importance de l’école et de sa mission quand « instruire, c’est construire », dans son contexte initial d’éducation comme au sens littéral du verbe. Il remerciait dans son discours tous les partenaires de ce projet, de l’architecte aux entreprises, en passant par les enseignants, les élèves et leurs parents, qui en ont « supporté les gênes inévitables », pour avoir permis l’aboutissement de cet énorme chantier malgré les aléas d’une conjoncture difficile. Ce que n’ont pas manqué de confirmer le vice-président départemental, lui-même chargé de l’aménagement du territoire, en rappelant l’aide financière apportée, comme le nouveau sous-préfet, qui se réjouissait d’avoir pu inaugurer en premier un lieu aussi symbolique qu’une école avec ce qu’elle représente pour la commune.

« L’école, c’est la vie, c’est l’avenir ».